vendredi 17 juin 2011

Tuer le temps

Les courses sont faites, il va falloir sortir d'ici 3 heures, en comptant le temps de nous sustenter....

Je crois que nous avons un bon moment avant de commencer à cuisiner, qu'allons-nous donc faire durant ce temps? Un petit froncement de nez - façon ma Sorcière bien-aimée - et je sais que tu n'as plus que ta petite robe, rien en dessous...
'Je te veux en tenue, dans la chambre, et vite.'

A peine le temps de me déshabiller, je te vois sortir de la salle de bain, cheveux attachés, rien d'autre... je te pose le collier noir, lourd, épais, qui tranche avec la blancheur de ton cou. Tu l'as étrenné hier, mais je sais que tu le portera souvent.
Vérification d'usage, tu es déjà trempée, presque trop facile.... Constat de mon côté : besoin de ta bouche....

Pas à tergiverser, je te veux à genoux, gueule grande ouverte, entre mes cuisses. Ton maquillage est très vite ruiné, tes joues rougies par mes gifles, tes seins que je pince fortement pleins de ta salive, et le sol entre tes cuisses se couvre d'une flaque...


Quelle soumise pleine de promesses, je sais que je peux te pousser encore, mais j'ai mon temps, et tellement envie de t'empaler, ce sera donc martinet, puis longue saillie à 4 pattes, la cravache attendra...




 
'Monsieur, je peux jouir?'
'Comment ça, déjà? alors que tu ne portes pas de pinces, que la canne et les plugs sont encore dans le sac, que tu n'es pas attachée, pas de bandeau pour tes yeux? Ne serait-ce pas un peu trop tôt?'

'Monsieur, je je je  p-p-peux j-jouir?'
Je veux faire durer le plaisir et je trouve l'expression vraiment à-propos, mais c'est clairement ta faute, pourquoi vouloir me donner envie autant comme ça? 

Tes feulements rauques me font dire que tu n'as pas su être patiente, il faudra te punir mais avant nous avons du temps à tuer, collés l'un contre l'autre membres emmêlés, à nous couvrir de baiser, en souriant et racontant des bêtises, avant que je ne te re-prenne en mains au lieu de entre mes bras.

V