jeudi 14 avril 2011

un peu de tenue, mademoiselle

Tu m'attends gentiment au coin, mains derrière la nuque, à genoux, cuisses suffisamment écartées pour que ton humidité sois visible sur le parquet.
Une nuisette noire à fines bretelles, des bas noirs eux aussi, et les 10cm de tes cuisses nues qui te donnent la vulnérabilité de la proie consentante, une victime qui a d'elle même décidé de faire l'impasse sur la culotte, sans doute lassée d'avoir à en lécher sa mouille.
Tellement consentante d'ailleurs que tu es au coin, punie pour m'avoir trop aguiché et m'avoir contraint à aller faire mon jogging avec poutre apparente.... 

Une fois assuré de ta bonne position et disposition, j'enlève ma chemise et vais m'asseoir sur la chaise en bois toute banale mais sur laquelle je me sens vraiment bien.
"Viens ici salope"
"oui Monsieur"
Tu approches sur tes genoux, un sourire magnifique sur ton visage, ta frange cachant tes yeux.
"Déchausse moi"
"oui Monsieur"
Visiblement, ce n'est pas une corvée, tu prends ton temps, et me croquenots rejoignent tes escarpins sagement rangés les uns contre les autres, comme des écoliers alignés devant le tableau noir.
"Tu va enlever ce petit haut et venir t'asseoir sur mes cuisses"
"oui Monsieur"
Ton dos contre mon torse, tes jambes de chaque côté de mes cuisses couvertes de mon jean noir, j'embrasse ta nuque, caresse et tire tes cheveux, puis j'ai très faim, je mords ton épaule, mes mains griffent tes seins, descendent tapoter ta chatte rasée.
Je tourne la chaise avec nous dessus.
"Penche toi sur le lit"
"oui Monsieur"
Tes jambes remontent, je sens tes mollets contre mon dos, c'est délicieux.
"Tu es bien installée?"
"oui Monsieur"
Alors je commence le traitement, une fessée longue, intense, où le clac de ma main suivi de tes hhhnnnn devient obsédant.
Tu gémis, pleurniches, râles; souffle, fais de délicieux ahhhhhh et je continue avec le paddle, longtemps, très longtemps...
"Vous êtes encore avec moi, mademoiselle, je vous sens ailleurs?"
"oui Monsieur"
"et cela te plaît, petite chienne?"
"oui Monsieur"
"tu sais que tu as trempé mon pantalon, tu va lécher le cuir tout de suite"
"oui Monsieur"
"et ensuite je vais t'enculer longuement et profondément, va chercher le gel"
"oui Monsieur"
"éh, dis, salope, tu sais dire autre chose que Oui, Monsieur"?
"oui Monsieur"

Nous rions de bon coeur, avant de nous y remettre sérieusement...

V

6 commentaires:

FLOW a dit…

Cher professeur, il n’y a rien de plus inspirant que la rigueur aimante d’une punition quand elle tapisse l'entrecuisses d'une vilaine petite devergondée d’une humeur non dissimulée... ;-)

dita a dit…

j'aime bien le rire de la fin
:)

Frenchie a dit…

jean ou cuir ? ou jean de cuir... un nouveau concept.
Hum, vous êtes un bon dialoguiste !

Pro-fesseur a dit…

@Flow, cela ne m'étonne pas du tout ^^

@Dita, il faut savoir rire, oui, s'amuser est la finalité.

@Frenchie, merci pour l'ironie, la coupe d'un jean, le cuir comme matière, rien de plus.

V

chilina a dit…

J'aime beaucoup vous lire car je trouve énormément de fraicheur dans tous vos écrits sans pour autant y être indifférente ...Si dans ce texte on ressent la fessée, on est sous le charme de ce que vous dégagez ...Est ce votre sourire ? :)

Sam a dit…

Je suis passé par hasard si votre blog. chacun ces gouts..je mesure que je n'ai vraiment pas l’âme d'une maso ni le gout pour ces jeux. bonne continuation à vous. :-)