lundi 23 mai 2011

Avant

     Des bracelets en cuir à ses poignets, rejoignent en croix dans son dos ceux sur ses biceps, via des mousquetons qui brillent.
      Un collier, en cuir noir, ceint d'un large anneau au bout duquel pend une courte laisse, car la chienne préfère être proche de la main de son dresseur.
       Des bas noirs opaques qui tranchent sur la blancheur de sa peau.
      A genoux, yeux bandés, et bouche grande ouverte, elle tire la langue, parce que je le lui ai demandé, et parce qu'elle est en manque, elle a envie, elle veut... son sexe qui dégouline le lui rappelle.

Je ne me déshabille pas, sachant que c'est toi qui le fera, une fois détachée, et aussi parce que la tentation serait grande de me jeter sur toi, queue en avant. 
J'enfonce ton plug dans ta bouche, tu le portes tous les jours dans le but de pouvoir m'accueillir plus aisément, afin de devenir une bonne petite enculée ...c'est toi qui me l'a dit. Je te fais baver, pousse dans ta gorge, tu sais que pour l'accepter tu dois l'avaler. Je t 'attrape par les cheveux, en queue de cheval, afin de dégager ton visage, plus aisé de te gifler ou d'abuser de ta gueule ainsi, et là encore, c'est à ton initiative. Je rentre et sors le plug pour que sa base touche tes lèvres, tu as des hauts-le-cœur, le menton plein de salive .... et tu es belle.

J'embrasse ton front, te penche et enfonce le plug dans ton cul déjà graissé... tu m'avais attendue déjà en tenue, et élargie, assise sur tes talons, mains posées devant toi paume vers le haut. 
J'agrippe tes tétons roses et tu te relèves... Tu es grande en talons, nous sommes exactement à la même hauteur, j'ai tendance à l'oublier vu le temps que tu passes à genoux ou à quatre pattes. Je vérifie ton état et tu laisse échapper des gémissements, je te fais lécher mes doigts. 

Tes fesses sont vierges de toute trace, je souhaite qu'elles le restent... encore ... un peu .... 
Je m'éloigne, ta tête me cherche, tu me suis au son de mes pas, je fouille mon sac et reviens avec ça :
Je les fais cliqueter près de tes oreilles, je pense que tu saisis assez vite de quoi il s'agit. Je lèche tes tétons, les mordille puis viens la pose... tu siffles entre tes dents, ces pinces sont très douloureuses.. tu trembles et je t'entends souffler fort.

J'écarte tes jambes, et te claque la chatte, fort, je ne sais pas combien de fois, pas envie de compter... mon index touche ton bouton magique et tu manques de jouir...
"Monsieur, j'ai vraiment vraiment mal..."
Je te fais patienter quelques minutes, je t'embrasse, je tire sur les cordes, te masturbe aussi.

Je ne veux pas réveiller tout le voisinage aussi il me faut du matériel. La boule rouge du bâillon entre dans ta bouche, je te dis chuuuuttt puis je retire les pinces....

Je te retiens pour que tu ne tombes pas, je t'embrasse, je t'aide à te reprendre, te retire ce bâillon parce que je veux ma langue dans ta bouche... Tu es trempée jusqu'aux genoux... Je te caresse doucement... 
"Monsieur, je peux jouir?"
"S'il vous plaît Monsieur?"

"Ma douce et belle soumise.... je te repose les pinces et tu pourra jouir, sommes-nous d'accord?"
Tu n'hésites même pas cinq secondes et moins d'une minute plus tard, je suis vraiment content de toi, et content pour toi...

V

2 commentaires:

Alice a dit…

1. J'adore ce mélange de douceur et de fermeté, de tendresse et de violence.

2. Proposer un chantage "pinces à seins contre jouissance", c'est vraiment pervers.

Philo a dit…

J'ai utilisé ce genre de pinces avec ma Soumise la semaine dernière ...
Elle sont vraiment très incisives ! ;)
Mais je ne regrette pas ( ni elle non plus ), cette expérience, tandis qu'elle se trouvait totalement entravée ...